Ton enfance ta lumière
Laissant une saveur chagrine,
Un siège reste désert.
A toi de gambader, claudiquant
Sur la voie par toi fleurie
Sans languir de nostalgie,
Sans craindre le présent.
Triste et néanmoins forte,
La robe pourpre t'emporte
Au-delà des âmes mortes
Mais la lumière veille à ta porte.
Isabelle Toussaint
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